La Table de Négociation.

HRP: Ce post est réservé à 4 joueurs maximum, moi exclu. Les 4 premiers à venir introduir leur personnage seront gardés. Ce sera plus facile de faire avancer l'histoire équitablement en laissant jouer les autres avant de rejouer. Si vous voulez Rp, vous pouvez aussi créer votre topic avec l'histoire que vous placerez.


La Table de Négociation.

Ce chapitre se déroule par une journée calme et ensoleillée. Une depuis un bon moment. La guerre vient de se terminer dans cette contrée. Cette guerre mettait en confrontation des peuples bien différents qui savaient manier des pouvoirs puissants, à un tel point que leur rage avait caché les rayons du soleil sous un épais nuage d'énergie malsaine. Le manoir sur la colline était un bel endrois hors du contrôle de quelconques courones au pouvoir. Cet endrois était habité par des magiciens qui se tennaient hors de ces conflits politiques et religieux. Il était bien protêgé et couvert d'un dôme d'anti-magie afin qu'il serve de lieu de négociations et de trève entre les hauts placés de différents coins du pays.

Cette journée là, quatre représentants des plus puissants royaumes se donnèrent rendez-vous en ce lieu depuis longtemps réputé afin d'y discuter des intérêts de ce qu'ils représentaient. Un discution et non une bagare devait avoir lieu. Un souper pacifique normallement, ce n'est pas si difficile...


Hrp: Je vous invite donc à décrire votre arrivée et votre personnage. J'écrirai quelques évènements ou paroles des personnes présentes dans le manoir. Quand les 4 joueurs auront écrit leur intervention, les joueurs supplémentaires y seront refusés. Bon Rp !

Une escorte traversa au galop les champs d'où reflétait presque le théâtre de lumière sombre qui se passait au-dessus d'eux. Les chevaux qu'ils montaient était revêtu de manteau de mail et un bouclier de bois pendait sur chaque flanc. Les guerriers qui utilisait comme moyen de transport portait de lourde armure de mail et était armé d'une lance d'environ 2 mètres de long et d'un grand bouclier en rond ,en métal d'une largeur d'environ deux fois leur avant-bras. Ils ne portaient sur la tête aucun casque ou heaume laissant pendre vers l'arrière de grand cheveux blonds ou roux pour certain.

Un des membres de l'escorte se démarquait par sa forte corpulence et à son teint qui ressemblait au visage à celui d'une tomate pour exagéré, il était le chef, car c'est lui qui menait. Il avait aussi les cheveux roux ainsi qu'une grande barbe rousse qui lui descendait jusqu'au cou. La troupe continua donc de faire son chemin à travers les prés. On vit alors au loin une grande tour. L'escorte divisé composé de 20 personnes se divisa en deux partie. Une resta sur place en gardant la tour dans son champ de vision et l'autre, c'est à dire le chef et 3 autres guerriers, a commencé la monté. Ils devait entretenir des négociations avec le chef des autres nations. Et oui! Cet humain à la forte corpulence et au cheveux roux était le roi d'un petit empire. Empire reconnu pour sa barbarie et de sa quasi sauvagerie sur le champ de bataille. Pour compléter le tout, le roi était une personne rempli d'admiration pour sa personne et pour son peuple ainsi qu'une personne vraiment entêter.

Il arriva donc au château situé sur la colline là où deux valets les attendaient. Ils ont prit leur monture et les ont emmené plus loin. Le groupe entra donc dans l'entré de la seigneurie où ils durent renoncer à toutes armes et armures, mais le roi garda un tour dans son sac et cacha une petit dague sous le surplus que causait son ventre. Le roi déclara alors:

- Me voici, Marcus représentant des nords, celui qui a réussi à réunir sous ma bannière la plupart des clans!

Il se frappa alors la poirtine avec son poing droit. Enfin, c'était pas vraiment un empire, mais pour lui les nords étaient un empire, car son ''pays'' était constitué de plusieurs clans.

un nuage de poussière apparut au loin. après quelque minutes, on entrevit les silouhettes des ashashins, la peuplades du désert. ils s'arrêtairent a quelque mètre de la barrière et débarquère de leur monture couleur de sable. un homme en habit noir et avec deux cimmeterres et un voile au couleur assortit s'avança et dit
-Nous y voici donc, dit salim. Après plusieurs année de turie nous alons enfin conclure la paix. du moin, si les personnes présente accepte.
il ôta ces armes avant de rentrer, omettant volontairement de ne rien dire sur sa dague empoisoné cacher dans sa manche.

Valériane enleva en soupirant la dague de sa botte et celle attachée à sa cuisse, sous sa jupe, le fourreau de sa ceinture, les différentes pierres explosives - ou pas - contenues par les bourses accrochées à sa taille, mit son son bracelet qui, une fois plié en forme de w, devenait une dangereuse arme quasiment invisible dans son sac, et retira les amples manches de sa chemise, qui étaient retenues par des pinces qui, une fois dépliées et après avoir retiré une espèce de petite pièce de métal hélicoïdale exilionne, devenait une petite étoile de jet. Se sentit tout d'un coup légère et inoffensive, adressa une prière à celui qui, elle espérait, lui offrirait encore une fois sa protection, n'oubliant même pas de défaire son chignon attaché avec la corde aux bouts renforcis d'un peu de cuivre qui pouvait servir d'arme strangulatoire, laissant tout de même le stylet offert par sa grand-mère qui se trouvait dans la couture de sa chemise. Elle ne le quittait jamais et de toute façon, même si elle n'avait pas l'intention de faire mal à qui que ce soit, son père, comme son Dieu, ne lui permettraient pas de se laisser prendre dans un guet-apens pour le premier et laisser d'autres être pris dans un pour le deuxième. Elle n'était pas vraiment à sa place ici, avait été envoyée comme représentante du royaume quasiment uniquement humain qu'elle habitait, à la place de son frère au dernier moment, même si elle était la préférée du roi son oncle qui se retrouvait maintenant vieux et sans descendant et donc héritière du trône, à cause de la sacro-sainte masculinité qu'on trouvait toujours meilleure à exposer même sous le regard de Raksha, et à cause de son statut d'aîné de l'intendant qui avait maintenant quasiment l'exclusivité des décisions relatives au pouvoir.... Son frère, cet incapable larve innocente pas même en mesure de décider si il donne une terre ou une autre à un paysan sans faire une bêtise. On imagine le reste, leur mère qui se lève et proteste. Raksha ne le permettrait pas, Raksha ne l'avait pas dans ses rangs pour rien, Raksha… Et puis c'était elle qui se présentait.
Elle se sentait bien, quoiqu'un peu toute nue, sans ses moyens de défense, parce que malgré sa logique implacable et son calme aux apparences imperturbables, elle était un peu craintive d'être avec tant d'autres personnes - pour ne pas dire tant d'autres hommes - se considérant sûrement supérieurs et avec infiniment plus d'expérience, de toute façon.
Elle entra dans le manoir silencieusement avec un signe de tête à la mémoire de ceux qui n'avaient pu être protégés par le dôme couvrant les alentours mais dont la mort ne serait pas vaine.
Du moins elle l'espérait.

«Je suis Valériane, représente du pays humain, filleule du roi Malik... Espérant faire de toutes les morts un sentier menant à la paix et ne pas les laisser devenir une masse de décès vains conduisant encore à la mort.»

Un éclat de lumière aparut alors devant l'immense porte du manoir. Une elfe se matérialisa dans le halo de lumière aveuglante fesant dissiper celle-ci. Elle avait les cheveux de couleur blond qui fesait resortir ses yeux d'un vert si brillant et pétillent. L'elfe avait une chevelure longue et si douce au toucher, son visage étais d'un calme renversant et d'une beauté par ailleur jamais vue. De petites oreils pointue venaient perfectionner son éclat brillant et un sourire accomplie donnais la joie de vive au autres qui la regardait. L'elfe avait une grande robe blanche taillé a la perfection pour son petit corps suave et enchanteur, de longue manche étais attacher a sa robe donnant l'illusion d'une cape. Elle avait un grand sceptre de couleur or doté de courbature près du bout, il y avait ratacher au sceptre une pierre blanche qui étais magique.

L'elfe se nommais Solaria, venant de la forêt d'Illiman, elle représentait très bien son peuple mais elle différait de la facon de pensser que eux. Croyant fermemeant que les humains n'étaient pas si inférieur que les elfes, cette réunion serais pour elle la chance de sa vie de prouver a son peuple que les humains et les elfes pouvait être en accord commun et s'alliée contre le mal. Solaria étais la fille d'un grand Archimage de son peuple, la reine l'avait envoyer puisqu'elle étais diplomate et pure, elle n'avait pas peur de défendre ses convictions et elle était très ferme dans ces décisions.

Gravissant les marche dans une allures mélodieuse et gracieuse, Solaria s'arrêta et regarda le soleil qui avait enfin sortir de son tombeau.

''Par le soleil enchanteur, que mes pas offre en ce jour un moment de paix et que ses humains ressentent la chaleur de votre grace énergie. Car par mes mots, soleil et lune puisse-til ne faire qu'un.''

Elle se retourna vers la majestueuse porte, prit un grand respire, sortie l'un des plus beau de ses sourires charmeur et ouvrit délicatement la porte. Elle entra alors, fière et svelte comme le vent, mais sa chaleur étais pure comme celle du soleil et ses yeux pitillait par la joie de cette première mission confié par la reine elle-même.

Solaria devait alors déposer son sceptre magique sur la table près des armes des humains. Elle vit alors une femme, et deux hommes qui attendaient justement après le quatrièmes représentant. Elle regardat dans les yeux de chacun, et un petit sourire délicat se posa sur ses lèvres.

'' Je me présente a vous, mon nom est Solaria, mage de lumière, réprésentente du peuple des Elfes et fille de l'Archimage Ilmanar....Ici pour rendre la paix entres les peuples et pour une nouvelle alliance. Que le soleil guide nos pas et que la nature bénissent notre nouvelle ère car par cette journée pleinement ensoleillé, je serais alors la lumière de cette noirceur qui a encombrer nos coeur.'' Dit Solaria avec une voix suave et enchanteur.

Des valets attendaient au portail ou les cavaliers laissaient leur montures près de la clôture.
D'autres encore se tenaient à la porte principale.
Et plusieurs, à l'intérieur, escortaient les invités vers la salle.

Ces valets étaient habillés d'un bleu profond, modestement mais proprement. Ils portaient tous au deux poignets une pièce d'armure de métal enchantée, ça paraissait. Aucune arme en apparence.

Il prirent les montures à mesure qu'elles arrivaient pour les amener plus loin, dans une faille de la colline ou ils disparaissaient.
Ceux qui accueuillaient les invités les priaient de déposer leurs armes, armures et effets personnels dans de solides coffres qu'ils prennaient bien soin de fermer à clé et de les enchanter.
La manoir était lumineux, beaucoup de vitrails laissaient passer la nouvelle lumière du soleil en de centaines de couleurs appaisantes. L'imposant bâtiment était bien tenu bien propre par les nombreuses personnes, hommes comme femmes qui y vivaient.

Les escortes passaient par un corridor qui laissait entrevoir les multiples pièces décorés de joyaux et de machines ou plusieures personnes s'affairaient à différentes tâches et apprentissages. Ils arrivèrent à la pièce principale. Les valets, d'un mot de pouvoir, firent ouvrir les épaisses portes qui addonaient sur une large et haute salle ronde ou une table de même forme et beaucoup de chaises les attendait.
En regardant vers le plafond, on pouvait y voir plusieures boules de feu qui flottaient et qui constituaient la principale lumière de la salle. Parfois, elle semblaient se regrouper pour se parler et parfois elles pouvaient se mettre à l'écart pour aller éclairer quelqu'un qui en aurait besoin. Plus haut, une peinture vivante changeait d'elle même pour ne pas être redondante.

Au bout d'un moment, les quatres étaient assis autour de la table qui semblait un peu vide. Ils se firent assigner des places bien séparées par les valets qui retournèrent prendre leur place avec les autres autour de la salle. Les portes se refermèrent et les quatres se dévisagèrent.

Les dirigeants entrèrent dans la grande salle et s'assirent autour d'une table. L'homme du nord tira alors ,en montrant toute ca force comme pour épater la galerie, sa chaise et eut toute les misères du monde à s'y asseoir tout en penchant son pauvre dos. Il prit alors un air décontracté et laissa même s'échapper un grand rôt sonore dans toute la pièce. Il lança alors d'un ton qui se voulait naturellement râleur tout en pointant la personne viser du doigt:

-Mais qu'est-ce que fais une femme ici!? Nous sommes là pour négocier pas pour tisser ma chère!

Son doigt se baissa alors et vint rejoindre l'autre sous ses épaules. Il croisait les bras tout en attendant une réponse de n'importe qui dans la salle. Intérieurement, il rit, mais extérieurement il laissa un visage neutre qui masquait bien l'aperçu des futurs négociations.

Solaria s'avait assit près de Valériane mais assez loin pour au moins garder une sorte de protection. Elle avait sentie la force qui recouvrait ce manoir, Solaria ne pourra donc pas se défendre en cas d'attaque, sauf si elle avait en sa possession une arme quelqu'onque. Beaucoup de gens surestimais sa force surtout dans l'art de la magie, elle avait aussi acquis un certain talent dans le combat a l'épée. Elle avait tout le temps du monde alors pourquoi ne pas excéller dans plusieur force. Ce manoir par contre empêchait toute magie de se manifester, ce qui fit rendre Solaria quelque peu nerveuse. Elle cacha sa nervosité par un sourire chaleureux et recouvert de plaisir d'enfin rencontrer des gens d'un peuple différent. Voyant qu'un homme de la corpulance robuste et d'une impolitèce incomparable s'en prenait au femme, elle lui dit alors d'un ton ferme et diplomatique:

'' Pardonnez moi mon cher monsieur, cette facon de s'adresser au femme et d'abaisser celle-ci me fait croire que vous ne croyez pas en nos capacité. Vous devriez regarder autour de vous au lieu de ne regarder que votre personne. Si je ne m'abuse, les femmes sont aussi douée que les hommes et si même plus.''

Elle regardat ensuite Valériane puis lui fit un sourire d'une complicité inégaler chez les autres représentants de la salle. Elle retourna ensuite son regard vers Marcus.

''Votre discourtoisie envers les femmes ne me plait guère, vous devriez faire attention. Même si un homme ignar comme vous ne peux s'en empêcher...''

Solaria soutaint le regard de l'homme du nord, elle prit ensuite la aiséssence de demander un vers d'eau au valet sans cesser de regarder Marcus.

Elle vit que l'autre femme… Solaria, oui, s'assit près d'elle autour de la table qu'ils leur assignèrent. Très bien. Elle ressentait le calme qui habitait le manoir et regrettait presque d'avoir, en défi à la confiance qu'on lui avait accordée, gardé encore le stylet.
Et puis un homme parla, et en juste deux phrases, insulta tout ce qu'elle était, de son physique à ses croyances. L'Autre intervint, gentiment, comme on pouvait bien imaginer d'une elfe/mage de lumière. Beaucoup trop gentiment. Mais elle ne pouvait tout de même pas exploser, ici, au beau milieu de tout ce beau petit monde. Elle mit alors toute sa concentration dans le fait de ne pas se lever et essaya de passer son énergie en serrant les poings jusqu'à sentir un liquide chaud et poisseux couler de ses paumes.
-Non, non, non! Tout de même pas! Vous, là, monsieur je-suis-le-plus-gros-respectez-moi, on se calme! Je ne sais pas si vous aviez remarqué, juste ainsi, mais nous sommes deux femmes, et donc représentons la moitié de l'assemblé. Ce n'est pas assez explicite pour vous? Est-ce qu'une de nous deux a eu besoin de se pourvoir d'une escorte pour se rendre ici? Non. Est-ce qu'une de nous deux a eu besoin de rabaisser quiconque pour prouver sa supposée supériorité par rapport à un être supposément? NON.
Elle ne rendit compte qu'elle s'était levée sans s'en rendre compte, et que sa voix avait monté d'un ton. Elle respira une ou deux fois, fit un signe de tête à sa voisine, puis termina:
- Et puis, et puis je déteste tisser, saurez-vous!
Et avec un sourire défiant, soutint le regard - encore - de ce roi d'une stupidité désarmante pour un représentant sensé être venu débattre pour la paix.

Une fenêtre de portail bleutée apparut soudain près d'eux.
Un vieil homme à la posture assurée habillé d'un long manteau bleu et décoré de plusieurs bijoux en sortit et dit d'une voix douce mais puissante :
''Les querelles entre hommes et femmes ont fait rage bien avant les divergences d'opinions sur les divinités et les guerres de téritoire. Vous ne réglerez certainement par cela aujourd'hui, et c'en n'est pas l'objectif de toute façon...
Bien le bonjour à vous ! Je ne nomme Alzar d'Étain-Froid. J'ai envoyé l'invitation vers vos terres et je suis bien heureux d'avoir reçu réponse. Vous, actuels dirigeants, avez fais le premier pas vers une action pacifique qui j'espère, durera. Je vous en félicite, mais je vous encourage à garder ce but en tête et de ne pas s'enfler la tête avec ces propos désobligeants.
Dans un autre ordre d'idée, avant de commencer, je vous informe que la cuisine à eu un petit problème de cuisson magique et à fait un magnifique gachis. Ce ne sera pas trop long... Vous voulez conclure la conversation que vous teniez avant de passer à autre chose ?''

Le mage attendit une réponse mais il semblait que tout le monde se retenait.

''Passons à autre chose de plus important alors. J'aimerais simplement que vous vous présentiez à tour de rôle devant l'audience s'il vous plait. Ce que vous représentez, qu'elles sont vos convictions profondes et vos manières d'agir. Il nous permettra de mieux vous connaître et d'évaluer vos forces.''

Il s'assit sur une chaise, croisa les doigts sur la table et attendit.

je suis salim. je crois en mon peuple et a l'égalité entre homme et femme. dit le-dit salim.Je représente les nomade du désert, et je fait prévaloir la paix a la force. j'ai répondu a vos question. autre chose, rajouta-t-il, en se tournant vers le porc assit a côté de lui si jamais une bataille de sexe venait à éclater, je combattrai du coté des demoiselle.

Solaria éclatat de rire et fit un grand sourire a Marcus, elle se leva ensuite de son siège et regardat tout les gens dans la salle avant de dire un mot.

'' Je me nomme Solaria, je vient du peuple des elfes de la forêt d'Illiman. Je suis un mage de lumière, mon père est un grand Archimage et j'espère le devenir a mon tour.Je suis ici pour faire parvenir une certaine alliance entre les elfes et les humains, ainsi nous pourrons surment vaincre le mal ensemble...seulement, si vous les humains continuez a posez la question qui est au pouvoirs entre homme et femme, je n'aurais d'autre choix que de laisser tomber. Mon peuple avait crue un petit instant en vous, que vous ne laisseriez pas le pouvoir envahir votre coeur de pierre. Enfai, j'avais réussie a les convancres mais...est-je bien fait? Je n'en ai aucune idée puisque vous m'en faite doutée.'' Dit-elle dans une voix qui se voulait gracieuse et convainquant.

''Par ailleurs, je crois en la paix et non la guerre. J'aspire les faits diplomatique et pure, non ceux de la vermine contaminer par cette corruption d'un certain pouvoir. Si le pouvoir est signe de vengeance alors je ne connais aucune haine, ainsi qu'aucune peur face a cette contamination inculte.''

Solaria se rassit sur la chaise avec délicatèsse en attendant les autres se présentés.

Marcus éclata de rire et dit tout en éclatant de rire:

- Il semblerait que votre courage à pour égal celui des femmes du nord, j'aimerais bien vous voir chasser le phoque!

Puis il prit un air plus sérieux et même pensif et oui il était capable de réfléchir contrairement à ce que vous auriez pu imaginer. Après quelques secondes de réflection il dit pour répondre à la question du mage:

- Et mon nom est Marcus celui qui a unifié sous sa bannière la majeur partie des clans du nord pour ainsi crée un grand empire. Ma foi repose en l'homme et on esprit ancestraux qui guide tout mes choix. Ma nation se bat pour le droit des hommes du nord qui ont trop souvent été jugé comme inculte et même comme des sauvages. Le plus souvent nous nous battons comme de vrai barbare, ainsi nous combattons les préjugés par les préjugés eux-même. Quoi dire de plus... je crois que les femmes ici présente possède beaucoup de cran et je dois m'excuser pour ceci.

Que mensonge! Marcus aimait le pouvoir, les deux ne faisaient enfait qu'un. Il ne se battait pas pour son peuple, mais pour son pouvoir personnel, mais une chose est sûr c'est que personne dans la salle ne pouvait s'en douter.

Valériane ravala la bile qui lui montait dans la gorge et s'abstint de continuer le débat qu'elle aurait sans aucun doute gagné. Mais il était trop tard, ceci dit, elle méprisait cet homme qu'elle devinait avide de pouvoir et sans scrupule. Elle écouta les présentations, sourit à celle de Salim qui serait du côté des femmes, secoua la tête par rapport à la haute estime que l'elfe avait d'elle-même et de son peuple, esquissa une moue de mépris à la description flatteuse que Marcus fit de lui. Et puis, et puis vint son tour et sa voix bloqua, elle n'avait aucune idée quoi dire. Se présenter. Pff.
«Moi hum… Je m'appelle Valériane et je suis une, on le croit, future Grande Prêtresse de Raksha, déléguée et héritière du royaume humain gouverné par Malik, qui est dans l'impossibilité de se déplacer. J'ai foi en la vie et en la justice, en l'égalité et en la diversité. Je crains la mort des autres comme la mienne plus que toute chose, et j'ai des penchants excessifs lorsqu'on attaque mes convictions ou mes proches. Et je préfèrerais qu'on ne me perçoive pas comme une combattante sans esprit en passant par dessus le fait que je sais me défendre et que je n'hésite pas à prendre les armes; je préfèrerai toujours les mots qui fusent au sang qui coule. Je vous en prie.»
Elle sentit sa conscience peser sur ses épaules, ferma les yeux doucement pour rendre hommage aux vies qu'elle avait dû supprimer au cours de ses courtes dix-neuf années de vie: deux soldats qui avaient essayé de la tuer, une nuit, pour miner la confiance de la famille royale en la garde et renverser la monarchie pour usurper le trône, un bandit de grand chemin qui avait tué - elle retint une larme - la petite fille qu'elle avait pris sous son aile et conduisait chez une de ses amies d'enfance qui était dans l'incapacité d'avoir des enfants et qu'elle soit la fille qu'elle n'avait pas eu, et puis une jeune femme qu'elle avait achevé alors qu'elle n'allait mourir que quelques jours plus tard à terme de trop grandes souffrances à cause de l'infection de la blessure que représentait ses yeux qui avaient été crevés. Elle ne l'avait jamais vu et elle avait pleuré des jours après cet acte que lui avait dicté sa compassion. Étrange vie.
Tout le monde s'était présenté, maintenant.
Ils venaient de faire le premier pas de la longue démarche qui conduirait à la solution qu'ils étaient venus chercher.

Le mage écoutait.
Durant les discours, il essayait de percer les mystères de chacuns et leurs mensonges. Il revena ensuite à l'attitude calme qu'il avait.

''Vous n'aprécierez sûrement pas mais il y a un autre invité à notre table. Il est arrivé cette nuit avec ses hommes. Le monde du dessous fait partit des terres que vous occupez et donc, celui qu'il nous faut discuter. Bien que cela vous semble bizare, ils sont en danger aussi. Voila pourquoi il se joint à nous aujourd'hui.''

La grande porte arrière par laquelle les servants du repas passaient s'ouvrit.
Un homme habillé d'un long manteau noir bien taillé et brodé d'or fit son entrée.
Bien qu'il portait un grand foulard sur la tête qui cachait se cheveux, par sa peau noire et ses oreilles pointues, même des enfants auraient su que c'était un de ces drows.
Il se tenait droit devant tout ces gens qui en veulent à ces assassins.
Il savait qu'il ne représentait que cette image et il l'assumait courageusement.

voyant le drow entré, Salim se leva et s'inclina, avant de dire : c'est un honneurs de recevoir un membre de ton clan parmis nous, samasha (prononcé samassa). J'ai une question pour toi: tu viens de quel région? tu porte un vêtement du désert mais tu as un port de drow des forêts.c'est intriguant. voyant l'incongruité(?) de sa question, il dit, en agitant sa main dans les air :mais... qu'importe. puis il rajouta, en faisant le salut rituel des drows du désert: que ton pied sois léger, ta fléche précise,et ta lame rapide. Naïsha (prononcer naïssa)

Par ces deux yeux verts, ce qu'elle y vit lui fut plus fatale qu'un couteau au ventre. Sans contrôler ses mouvement, elle se levat brusquement, le visage remplie de colère et de rancoeur. Pourquoi cette créatures avide de sang et de massacre étais présent. Elle n'y croyait pas, cela devait surment être un autre de ces cauchemars qu'elle avait l'habitude de faire. Solaria ferma les yeux très fort pour se rassurer que ce n'étais guère réel, mais quand elle les rouvrient...Le drow était toujours présent, avec cette allure hautain et déroutant, qu'elle avait l'affirmation de songer. Elle était troubler et décontenancer par ce qu'elle voyait.

Elle voulait s'assir afin de démontrer qu'elle était diplomate, mais avec tous ce que sa famille lui avaient dit, ainsi que ce qu'elle avait vue de ces propres yeux...La mort d'un jeune elfe qui était a ces yeux très important. Tous les souvenirs de sa jeunes enfances lui revain, ainsi que ce douloureux passé de querelle entre elfe et drow. Des larmes vinrent couler sur ses joues démontrant l'iminante tristesse que cette créatures lui causait, en venant lui remémorer des souvenirs. Elle ne devrait pas pleurer, elle devrait lui cracher dessut, elle devrait lui sauter au cou pour en finir...Mais ce n'étais pas la cause dont elle était venue. L'amertume de la vengeance vaint filtrer en elle une rage incontrôler. Les larmes finirent ensuite par être ceux de la fureur.

Solaria prit une respiration que surment tous entendirent, elle le savait. Scrutant les visages de tous, l'embarra de s'avoir emporter lui fit se rassoire. Si ses hommes et femmes n'auraient pas été la, qui sait se qu'elle aurait pu faire à ce drow.

Elle dévisageait le drow, ne voulant rient dire pour ne pas rendre sa rage plus grande, mais dans un élant elle dit sur un sifflement de dents qui se voulait imposant:

''Mais qu'est-ce que cette créatures fait-il ici! Ce n'est pas une place pour ce genre de plaisenterie!Je...Je ne tolère point de le voir présent devant moi en sachant que sa race est celle de la tuerie! Oh non, pas aujourd'hui.

Un drow venait d'entrer dans la pièce. Une créature qui n'aimait que ceux de sa race et qui dont il fallait se méfier au plus haut point. Mesqui était ces êtres de la noirceur. Même les hommes du nord auquel appartenait Marcus ce méfiait de ceux-ci. Tout comme les elfes, ils aimaient mieux mettre leur tête sur des piquets que corps sur leur chaises. Justement, la femme elfe venait de crier une avertissement à ceux qui se tenait sur les chaises. Elle n'aimait pas le drow. Marcus lâcha alors un grand rot qui fit un écho dans la pièce et mis ses deux mains sur son ventre. Il dit alors d'une voix pleine de respect:

-L'elfe a raison, si c'est une alliance que vous voulez ce ne sera que la bataille avec les races.

Des mots intelligents, probablement les plus intelligent qu'il ait prononcer jusqu'à maintenant pendant la réunion. Voyons voir la réaction des autres.

Valériane resta bouche bée à la vue du nouveau venu, secouant vivement la tête. L'homme du désert demanda au Drow - évidemment que c'était un Drow - ce qu'il était, étrangement, laissant ensuite la parole à une elfe pleine de rage et de rancune par rapport à une race dont les membres avaient sûrement mis fin à l'existence de plusieurs des siens. Lorsqu'elle se tut, l'homme du nord rajouta, encore, qu'ils n'arriveraient à rien. Balivernes! C'est être plein de mauvaise volonté que de partir avec de si pessimistes idées. Elle posa sa main sur le bras de Solaria pour la faire se rasseoir avant de prendre la parole.
«Je vous en prie, ce n'est ni une plaisanterie ni une idée saugrenue! Un peu de tenue, vous êtes les représentants choisis par vos peuples, soyez-en dignes! Si je n'apprécie peut-être pas la présence d'un homme servant des forces qui me sont ennemies, si il veut se joindre à nous, c'est qu'il a besoin comme chacun de nos royaumes d'une alliance pacifique. Je vous en prie, contrôlez-vous, et laissez-le exposer les motifs de sa présence, nous serons ainsi fixés.»
À quoi pourrait-on arriver si personne ne se faisait confiance?

L'elfe eût un sourrire en coin et s'avança vers sa chaise en regardant le plancher.
Bien qu'il n'était pas le bienvenu, il allait quand même s'asseoir à cette table aujourd'hui pour se défendre, lui et les siens.

Le mage reprit : ''Asquetal du clan Karnifex est venu, bien que je me répète, puisque son peuple est en danger et qu'ils figurent sur la liste des puissances ayant signé l'accord prévisaire de paix. Laissez-le se présenter lui-même, je vous prie.''

Le drow regardait toujours plus bas d'un regard perçant, il réfléchissait.
Un moment passa avant qu'il se lève et regarda maintenant les gens directement dans les yeux, un a un.
Il prit un ton très calme, avec une voix un peu sifflante, et s'élança.

''J'ai l'impression d'être l'un de vos cauchemards que vous voyez ici en plein jour. Mais sachez que lorsqu'un rêve se manifeste, et même, surtour, un cauchemard... c'est qu'il y a un message a déchifrer, une invitation, un prenez-garde, une chose à changer... il n'est pas toujours mauvais. Comme moi aujourd'hui. Vous savez bien qu'il y a bien des cultes et différentes façon d'agir. Que ce soit les humains, ou même les elfes soit disant ''propres'' *d'un ton moqueur* , il y en a toujours qui causent le mal. Pourtant, nous, les drows, avons été classés tous ensemble. Vous ne savez peut-être même plus pourquoi nous vivons sous terre et pourquoi vous nous haissez. Et maintenant, à chaque fois que vous avez contact avec eux, il y a toujours des morts. *silence*
Je sais à quoi vous pensez, mais aujourd'hui, je vous regarde dans les yeux et je vous parle sincèrement. Je sais aussi que vous ne considérerez pas mon ¨sincèrement¨ mais nous ne sommes pas comme le clan de la main blanche et nous n'avons eu aucun affront avec aucuns de vos peuples depuis bien des dizaines d'années. Que dites-vous de cela ? Vous allez me laisser finir ou encore me considérer de créature, de plaisanterie et de tuerie ?

Solaria soutaint son souffle, elle avait la confusion percher sur son regard qui devaint livide et profond. Ses yeux n'étaient plus d'un vert pétillent mais devenue un gris fort et imposant, ils changeait de couleur, du vert au gris ,face a ses émotions.

Elle sentie aussi le sentiment de la honte l'envahir, Asquetal l'avait regarder, comme il avait regarder tout les dirigeants de la salle. Seulement, son regard était venue percer celui de Solaria. La colère envahie de nouveau la jeune elfe mais elle pue se contrôler en cerrant les poings sous table. Le drow avait raison, ce ne sont pas tout les gens d'une race d'assasinat qui les nécéssèrement. Mais pourquoi avait-elle cette peur abrute, pourquoi avait-elle tant de remord après lui avoir souhaiter la mauvaise des journées. Solaria ne se comprenait plus, même la honte lui était devenu confus.

Elle regardat d'un air songeur tout les dirigieants, y compris cette homme d'une barbarie inée chez lui. Les humains avaient été mépriser par les elfes, et les drows avaient été hais par ceux-ci. Pourquoi toute cette haine quand les peuples peuvent s'unirs et combattre le mal. Elle s'avait jurer de comprendre cette cause mais même maintenant, la haine de ce drow lui était plus fort.

Solaria se leva discrètement, elle se sentait mal et incomprise.
'' Si vous voulez m'excuser pour ma colère.'' Dit-elle dans une voix douce. '' Par ailleurs, vous avez raison...Asque...Asquetal. Tout les peuples ont droit a la paix, quelqu'il soit et cela va de même pour les créa...les drows. Je m'en veux d'avoir réagit de cette façon et j'espère que vous comprenderiez.''

En disant ces paroles, son honneur venait de tomber. Son peuple n'aurait guère tolérer ce drow dans la salle, mais Solaria était beaucoup trop douce et ne voulait causer le chaos entre les dirigeants pour une querelle entre elfe et drow. Ces paroles avaient tout dit, on pouvait y lire beaucoup de choses.

Elle se rassit en jettant un coup d'oeil discret au drow, cela fatiguait Solaria, la journée avait bien commencer, allait-il tout ruiner?

Elle avait peur de parler, elle n'était peut-être pas fait pour ça, les parlementeries, au fond. Avec l'elfe qui reniait son honneur - étrange pour un elfe - pour un drow, encore quelque chose d'étrange, elle ne comprenait plus rien. Mais elle savait une chose, elle allait pas lui dire de partir.
«Mais bien sûr que vous pouvez parlez. On est pas là pour être racistes, juste pour assurer la paix… Ce serait stupide de dire de partir à un membre non belliqueux.»
Pffh. Elle avait l'impression d'être stupide.

salim de releva et resta bouche-bée devant tant de haines pour les drows. Oui, il y en avait des méchants, mais comme chez les humains, et peut-être même moins. Les autres peuples souffrait des préjugés de on-ne-comprend-pas-donc-on-le-tus.
-Je vous interdit de penser que les drows sont méchants. Avez-vous ne serait-ce qu'une journée passer du temps avec les drows sans vous frapper dessus? Nous, dans le désert, nous vivons ensemble depuis plus de 1 000 ans. Nous connaissont les drows. Ils survivent. Ils se défendent. arrêter de leurs être hagneux, et ils arrêterons aussi de vous haïr. Bien sur, les elfe sont gentils avec tout le monde, SAUF LEUR PLUS PROCHES COUSINS. DONC, SI QUELQU'UN DANS LA SALLE PENSE UN JOURS DU MAL DE CE DROWS, JE LE TRAÎNE DEHORS AVANT DE L'ÉGORGER!!! et il fini d'une voix douce: Compris?

Outragé par tout les dires de ses compatriotes assis autour de la grande table. Marcus se leva lui aussi À son tour et d'une grande voix qui retentit dans toute la salle:

- Les ors aussi sont des êtres vivants, pourtant ca ne nous empêche pas de les tuer comme de simple bâtard! Avant de critiquer vaux mieux se regarder premièrement et pour moi c'est déjà fait. Je suis un humain, un qui prône la justice, mais vous monsieur du désert qu'êtes-vous réellement?

Il ne voulait que semer le trouble dans la conversation et intérieurement il éclatait de rire. Il n'avait fait que provoquer l'homme du désert avec cette simple phrase. Le chaos serait bientôt dans toute la salle. Oui... finalement il serait mieux que la réunion se termine dans un bain de sang. Ainsi, les nations entreraient dans une guerre sans merci et ,puis, lorsqu'il un aurait un ''gagnant'' le peuple du nord entrerait en action et le grande peuple de marcus resortirais vainqueur!

Le drow qui gardait son visage froid et intact durant les interventions, laissa paraître un brin de contrariétée lorsque le barbare mentionna les orcs et répliqua aussitôt.

-Les orcs se raprochent plutôt d'une créature sociale semi-organisée que d'un peuple. Ne nous comparez pas, moi et les autres drows, peut importe le clan, à ces abrutis. S'ils vous attaquent avec des armes communes, c'est bien parce qu'ils ont vus des gens les manier, pas parce qu'ils en ont forgés. S'ils semblent vous attaquer en groupe, sachez que c'est parce qu'ils ont peur de vos peuples parce que normallement, ils se mangent presque entre eux. Et s'ils semblent bien impressionnants par leur muscles, sachez qu'ils redoutent les manifestations de magie, aussi petite soit-elle.

Vous voulez en savoir plus à mon sujet. Je vais vous en laisser savoir. J'en sais déja bien assez sur vous.
Il est important de s'informer beaucoup sur ses ennemis et il est aussi important d'être honnête avec ses alliés, si on les croit de confiance. Voila pourquoi, je vous dis que vous avez tous été visités par mes espions. Aucun mort signalés n'est-ce pas ? Nous ne sommes pas vampires même si nous en avons quelques ressemblances.

Les beaux parleurs, bien parraître, si propres et lumineux - ludique façon d'être si utile - qui cache qui ou quoi le plus : l'espion ou l'espioné ?

Il regarda tous dans les yeux encore une fois et s'assit.

voyant que le feu risquait de prendre au feu, Salim se leva et dit:
-Assez de présentation. Nous sommes là autours d'une table de négociation, et bien négocions. Je proposes de séparé le sud d'elthanor en deux, à partir de la rivière ragnarök, entre les peuplades du désert et les drows. Nous ne les craignons pas car nous les connaissons et nous avons une bonne réputation auprès de tout les drows. Oui, ça représente le deux tiers des terres à donné, mais près de la moitié est un erg, et L'autre moitié un reg. je trouve cela équitable. je propose de donner les forêt de pins de l'est au homme du nord, les chênes de l'ouest au elfe et la plaine à partir de la rive nord de la Ragnarök au humain des plaines. je crois cela équitable. je m’arrangerai avec les drows pour les détails du sud, mais grossièrement, quand pensez-vous? dans ma tribut, un dicton dit que pour qu'un partage soit équitable, il faut que toutes les partits sois mécontente a la fin des pourparlers.
il se rassit et attendit l'inévitable objection qui allait fusé.

Solaria resta bouche bée, tout savait passer si vite qu'elle ne pue même pas réagir a l'afront que Salim avait fait pour le peuple des elfes ,ainsi maintenant ils disaient séparer les continents a SA façon. Nous étions en négociation pour la paix, non pour une guerre de clan. Elle se sentait aucunement a sa place. Voulant la paix entre peuples, cela était tant dificile d'accepter un drow a cette réunion, mais elle n'avait aucun choix.
Solaria ce leva discrètement et émis un petit sourire avant de parler.

''Pardonner moi mon cher Salim ,mais qui vous dit que nous voulons séparer des territoires qui sont DÉJÀ en harmonie, si cela ne fais pas votre a faire soite, mais je crois que nous sommes ici pour un partage de paix et de solutions, a moins que notre but était d'un partage de territoire ,j'en fus surment mal informer...On peu aussi faire cette partie, mais je crois que séparer des colonies déjà former serais bien que dificile mais pourrait créer un révolution. Et qui dit révolution, dit guerre, ce n'est justement pas pour sa que nous sommes ici.''

Elle regarda ensuite le drow droit dans les yeux,ce regard était de méfiance et de mise en garde seulement. Certe il avait le droit d'être a cette rencontre, mais est-ce que cela aubligeait Solaria de l'aimer pour autant...non. Elle voulait tout de même paraitre diplomate et ne pas se laisser emporter par des émotions de colère imprévue.

'' Alors parler nous de vous, je me ferais une joie de connaître vos véritables intentions. Puisque VOUS en savez beaucoup sur nous, cela serait bien qu'égal que je...nous soyons informer .'' Dit-elle avec fermeté. Elle voulait plus que tout comprendre cette colère qui l'habitait. Cela n'était pas le genre de Solaria de personifier tout un peuple pour un acte fais par quelques clans en particulier. Seulement, elle avait perdu cette personne, cette même personne qui lui avait démontrer un monde merveilleux, celui qui nous entoure... Après sa mort, elle se promit de perfectionner son art en la magie pour lui, juste pour lui.

Elle se rassit en levant la tête bien haute, pour démontrer cette détermination qui l'habitait, attendant avec impatience les conseils des autres dirigeants.

-Et bien, vos saurez, ma chère, que toute guerre à pour but d'étendre son pouvoir. Ou de le garder Et dans les guerres, Ils y a au moins deux participant. dit Salim, d'une vois doucereuse. Si je suis le seul à mener cette guerre, je me demande pourquoi ai-je perdus des troupes, puisqu'il n'y a pas d'adversaire.Il éclata de rire avant de poursuivre: Je vous ai proposé un pacte, vous l'avez refuser. Je comprends. Maintenant, j'attend votre version. Et sur ce, il posa ses pieds sur la table

En voyant l'effronterie de l'homme qui mettait ses bottes poussiéreuses sur la table, le magicien leva un sourcil d'étonnement et eût un sourire de défi.
L'autre qui était bien callé, presque couché, aperçut une tarte à la crème tomber tout simplement de nul part vers son visage...